L’Église face à la douleur et à la
violence, Funérailles du ministre Mauricio Borgonovo
11 mai 1977
Cette espérance n’est pas une
aliénation comme le dit le communisme. Notre religion prêche l’espérance, elle
est espoir en Dieu, espérance de vie éternelle; elle prêche aux êtres humains
qu’il vaut la peine de lutter. […]
Notre espérance n’est pas une
aliénation comme le dit le communisme. Notre religion prêche l’espérance, elle
n’aliène pas l’humain; l’Église n’est pas communiste, elle est espoir en Dieu,
espérance de vie éternelle; elle prêche aux êtres humains ce que sont
l’espérance, l’allégresse de ce que nous attendons et elle dit aux hommes que
ça vaut la peine de lutter, d’être honorable, de mourir victimes de ces
attentats si cruels, mais en ayant la satisfaction d’avoir servi avec honneur
sa famille, sa patrie et l’humanité. 11/05/77, I-II, p.35-36.